Cher·ère·x·s,

C’est la dernière tournée de l’année…. avant la suivante !

On tour pas chez nous mais chez nous quand même
Première étape du Centre Culturel Suisse on tour, nous déposons les valises de Giselle… et d’Auréliens au Bateau feu de Dunkerque du 22 au 24 novembre.

Ne pas faire les choses à Demy
Puis Giselle… prend ses parapluies pour Cherbourg. Nous vous y retrouvons au Trident les 24 et 25 novembre.

Puis vient le temps des capitales
Retrouvez Pièce sans acteur(s) du 30 novembre au 3 décembre au Monfort, dans le cadre du Festival d’Automne à Paris, en même temps que Giselle… du 29 novembre au 3 décembre au Théâtre National Wallonie Bruxelles.
Oufti ! 

Gravé dans nos coeurs

⬇︎Informations détaillées ci-dessous ⬇︎

Au plaisir de vous retrouver,

Votre 2b company
 
 
 
 
 
 
Pièce sans acteur(s)
François Gremaud et Victor Lenoble
 
 
 
 
 
 
Un geste poétique et très stimulant.
Anne Diatkine, Libération

Prochaines Dates
Le Monfort Théâtre – Festival d’Automne à Paris
30 novembre au 3 décembre
19h30
Durée: 1h05
Infos

Théâtre Les Halles, Sierre (CH)
9 et 10 décembre à 19h
11 décembre à 17h
Durée: 1h05
Infos


Synopsis
François et Victor partagent un goût sérieux pour le décalage et la poésie à peu de frais, ainsi que l’absolue conviction que la plus chouette manière d’arriver quelque part reste malgré tout d’emprunter d’abord le chemin qui y mène. Y aller plutôt que ne pas y aller.

Suite à leur fructueuse première collaboration, Partition(s), ils ont manifesté le désir de poursuivre leur grisant et passionné dialogue sur les processus créatifs en écrivant une pièce de théâtre, sans acteurs.

Pour autant, leur ambition n’en est pas moins que de faire un spectacle « drôle, simple, émouvant, poétique, philosophique ».
 
 
 
 
 
 
 
 
Giselle...
François Gremaud
 
 
 
 
 
 
Le metteur en scène suisse surprend et réjouit de bout en bout dans cet hommage décalé à l’iconique ballet. Magique !
Emmanuelle Bouchez, Télérama

Dates
Le Bateau Feu, Dunkerque (FR)
22 novembre à 20h
Durée: 1h50
Infos

Le Trident, Cherbourg (FR)
24 novembre à 19h30
25 novembre à 20h30
Durée: 1h50
Infos

Théâtre National Wallonie-Bruxelles (BE)
29 novembre à 20h30
30 novembre à 19h30
1er décembre à 20h30
2 décembre à 20h30
3 décembre à 20h30
Durée: 1h50
Infos | Surtitré en anglais.

Synopsis
Une oratrice, interprétée par la danseuse Samantha van Wissen, prétextant parler de la pièce dont vous lisez actuellement le synopsis, finit par raconter et interpréter le ballet Giselle, d’après le livret de Théophile Gautier, la musique de Adolphe Adam et la chorégraphie originale de Jean Coralli et Jules Perrot.

De la même façon que dans Phèdre ! Romain Daroles raconte, seul en scène, la célèbre pièce de Racine, dans Giselle… Samantha van Wissen raconte le ballet éponyme, considéré comme le chef-d’oeuvre du ballet romantique.

Il s’agit du deuxième volet de la trilogie que François Gremaud entend consacrer à trois grandes figures féminines tragiques des arts vivants classiques : Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra).
 
 
 
 
 
 
Auréliens
François Gremaud
 
 
 
 
 
 
Restituant le texte avec légèreté et vivacité, tant dans le geste que dans la parole, le premier Aurélien confère une belle résonance aux mots ô combien pénétrants du second Aurélien et, malgré le constat accablant, parvient même à instiller un peu d’humour, tout au bord du désespoir.
Jérôme Provençal, Les Inrocks

Dates
Le Bateau Feu, Dunkerque (FR)
23 novembre à 20h
24 novembre à 19h
Durée: 1h50
Infos

Synopsis
Ici, des ruisselets gonflent d’un coup et détruisent des villages. Ailleurs, des dômes de chaleurs étouffent des régions entières. Partout, les signaux tangibles d’une catastrophe en cours. Et pourtant, nous continuons à foncer comme si de rien n’était, cheveux au vent, dans ce mur désormais visible que l’immense majorité des spécialistes annoncent depuis plus de 30 ans.

Interprétée par Aurélien Patouillard, Auréliens est la transposition sur scène d’une conférence qu’Aurélien Barrau a donnée en 2019 à l’Université de Lausanne sur ce qu’il appelle « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité ».

Si comme ses pairs Aurélien Barrau dresse un implacable bilan, il soumet une dizaine de pistes de réflexion à notre sagacité pour tenter – sinon d’éviter un mur duquel chaque minute d’inaction supplémentaire qui passe nous rapproche – de limiter les dégâts.

L’ambition d’Auréliens, en décalant à la fois le discours (d’un auditoire « classique » à une salle de théâtre) et son émetteur (de l’auteur au « personnage »), est de revisiter la dimension sensible du discours, en s’appuyant sur la conviction que les arts dits «vivants» peuvent faire entendre combien demeure fragile et précieux le fait de l’être.